L’INQUIÉTUDE

L’INQUIÉTUDE/ μεριμνάω / merimnáō

2e partie;

Merimnáō est utilisé pour distribuer efficacement l’inquiétude, qui convient à l’ensemble d’un scénario. L’inquiétude en tant que telle, est une forme de méditation ou de préoccupation attribuer à une chose, qui est attaché à cette terre (Col. 3. 2b)

Pr. 14. 22

« Ceux qui méditent le mal ne s’égarent-ils pas?

Mais ceux qui méditent le bien agissent avec bonté et fidélité. »

És. 26. 3(LSG)

« À celui qui est ferme dans ses sentiments (ou pensées ferme dans ses sentiments (ou pensées pensées) Tu assures la paix, la paix, parce qu’il se confie en toi. »

Ps. 143. 5(LSG)

« Je me souviens des jours d’autrefois, je médite sur toutes tes œuvres, je réfléchis sur l’ouvrage de tes mains. »

Un synonyme intéressant à « μεριμνάω / merimnáō » et le mot – ἐκκακέω / ekkakéō #1573 = qui parle d’être influencé négativement par le résultat de la fatigue intérieure. De ne pas littéralement marcher dans l’esprit. Wow…

Une préparation réfléchie pour le futur est une chose (pour prendre soin d’un, 1 Timothée 5: 8[autant que le plan personnel] (où T Tr texte WH lecture marginale προνοειται), mais de s’en inquiéter est une autre paire de manches.

Pr. 12. 25(LSG)

« L’inquiétude dans le cœur de l’homme l’abat, mais une bonne parole le réjouit. »

Dans notre texte original Ph. 4. 6-7(LSG) de la 1re partie, sa dite;

« Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose, faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces… »

Pour «faites connaître », on retrouve le mot γνωρίζω / gnōrízō

‘τὰ αἰτήματα ὑμῶν γνωριζέσθω / gnōrizesthō [le verbe]’.

Dans la grammaire grecque [γνωρίζω] est dans le temps présent, du mode indicatif, donc, c’est comme dire « faite continuellement, encore et encore, a chaque fois, en toute occasion… connaître [ γνωρίζω ] “d’acquérir une connaissance de” ou “avoir une connaissance approfondie de…”» « …vos besoins… » Le mot grec pour « besoin » est le mot « αἰτήματα ou αἴτημα / aítēma #155 ». (τος, τό (αἰτέω) (de Platon en descendant), [ce qui est ou a été demandé, une requête, une demande].

Dans le grec on retrouve l’article défini pour (αἴτημα) qui met l’emphase, non à nos besoins, mais à obtenir une connaissance plus approfondie. Le niveau de connaissance spirituelle est un facteur très important pour en déterrer les points et non à exposer seulement des hypothèses.

Le N.T. prend compte que la vie humaine est influencée par les soucis. Les exhortations à ne pas s’inquiéter supportent le fait que chaque homme, chaque femme, se soucie naturellement d’eux-mêmes et de leur vie, qu’ils se concernent d’eux-mêmes, qu’ils sont toujours résolus à quelque chose et préoccupés de quelque chose. Il n’y a rien de mal en ça… Mais le pourquoi et la raison de leurs préoccupations reçoivent une nouvelle orientation, de nouvelle directive, tout comme leur connaissance d’eux-mêmes et de leur vie. TDNT vol. iv, b. (p.591) Ibid. GJR.

La preuve qui dévoile si l’inquiétude est présente ou non se remarquera durant le parcours des conflits hostiles de ce monde.

Car cette vie est en effet contrôlée par ce pour quoi, ce dont, ce qu’avant quoi et ce dont il se soucie.

La bonne nouvelle c’est qu’on peut rester dans le repos (Hé. 4. 3)

Donc, Il est possible de vivre une vie totalement sans souci parce qu’il n’y a pas de limite à la paix de Dieu, et la paix est un fruit de notre esprit né de nouveau. Ga. 5. 22.

L’inquiétude est reliée au cœur.

Lc. 21. 34(LSG)

« Prenez garde à vous-mêmes, de crainte que vos cœurs ne s’appesantissent par les excès du manger et du boire, et par les soucis de la vie, et que ce jour ne vienne sur vous à l’improviste… »

Pr. 12. 25(LSG)

« L’inquiétude dans le cœur de l’homme l’abat, mais une bonne parole le réjouit. »

Nous avons tous des choses qui se passent que nous ne comprenons pas. Ceux qui comptent sur eux-mêmes ne peuvent pas avoir la paix dans une telle situation. Ils ressentent que les choses sont hors de contrôle, et la peur prend le dessus. En tant que chrétien né de nouveau et rempli du Saint-Esprit nous avons la paix surnaturelle de Dieu.

Nous n’avons pas à tout comprendre; nous avons confiance que Dieu soit en contrôle. C’est une merveilleuse différence entre les vrais chrétiens et les non-croyants. La foi en Dieu nous permet de vivre une paix qui va au-delà de notre compréhension.

La paix est la clé…

Ph. 4. 7

« Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. »

Ceux qui manquent de paix seront tourmentés dans ces régions. La paix est comme une forteresse contre le diable…

Nous devons laisser la paix de Dieu protéger nos cœurs et nos pensées. « Que la paix de Dieu règne dans vos cœurs ». Col. 3. 15.