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Une Vie Spirituelle
J’ai écrit un long texte intitulé « une vie spirituelle »
Une partie de ce texte-là touche à quel point le « judéo-chrétien », fait surface à tout bout de champ dans nos traditions chrétiennes évangéliques. Je ne pourrais jamais assez le souligner, à quel point nous avons besoin de voir cela… Pas pour démolir ni critiquer ou accuser. Mais si on est pour marcher dans l’esprit, il va falloir voir le N.T., sans aucune tradition d’homme qui nuis nos perspectives et nous poussent à humaniser l’évangile de Jésus-Christ
Jésus Christ lui-même à dit;
Jn. 6. 63-65
« 63 C’est l’Esprit qui vivifie; la chair ne sert à rien. Les paroles que je vous ai dites sont Esprit et vie. 64 Mais il en est parmi vous quelques-uns qui ne croient point. Car Jésus savait dès le commencement qui étaient ceux qui ne croyaient point, et qui était celui qui le livrerait. 65 Et il ajouta: C’est pourquoi je vous ai dit que nul ne peut venir à moi, si cela ne lui a été donné par le Père. »
Tout se passe dans le domaine spirituel pour votre vie et la mienne…
Voici la partie de ce long texte;
(Un point important à vous rappeler c’est que je ne suis pas antisémite du tout…)
Dans le judaïsme il y une énorme orientation de bien rationaliser le sens des mots. Autant que leurs définitions sont sans exception, phénoménales, tend à se limiter à la sphère physique qui donc demeurera, à ce qui concerne les apparences pourvoyant à une plateforme au mysticisme (qui est une doctrine accordant une grande importance à l’intuition [et l’intuition est la faculté qui permet de prévoir, de deviner]. *Aussi connu sous le nom des « traditions rabbiniques »qui d’après le savant Gershom Scholem, montré que même les figures les plus importantes de la tradition rabbinique n’excluent pas systématiquement les idées mystiques et autres spéculations, au contraire, différents types d’idées existaient ensemble, et une seule personne pouvait facilement sympathisé avec plus d’une ligne de pensée et ainsi être comptée dans plus d’un «groupe» ou «mouvement».[* Nelson / encyclopédie illustrée des faits bibliques]).
Il ne faut pas oublier que le Judaïsme contient trois livres ( la Torah, Talmud et Mishna). Selon la tradition juive, le Talmud est plus valorisé que la Torah à cause que le contenu s’identifie plus précisément à la vie religieuse des juifs à partir de 70 après Jésus-Christ.
La tradition juive dit que Moïse a reçu deux Torahs sur le mont Sinaï. Le premier est la Torah écrite (donc celui que le christianisme ces familiarisé avec) et le second est une Torah orale transmise de génération en génération. Il est maintenant connu sous le nom de Gémara, qui signifie «achèvement» en araméen.
Bien qu’il n’y ait qu’une seule Michnah, il y a deux « Gémaras ». La première « Gémara » appelée « Yerushalmi » a été créée en Israël et la seconde appelée « Bavli » a été créée à Babylone. La « Gémara » est toujours imprimée avec la « Mishnah ». Les « Gémaras » s’ajoutent à la « Mishna » et sont une source d’histoire et de légende : sans mentionner que le « Mishna » a six sections (appeler [Sedarim]) et le « Pirke Avot » (l’équivalent du livre de proverbes) qui est les chapitres des pères.
Pourquoi je vous partage tout ça? Pour vous montre que quand des chrétiens nés de nouveau d’engrenage dans la connaissance judaïsme et pense que les 2 Torahs sont une révélation cacher auprès des chrétiens, prouve leurs déchéances auprès de leurs Saluts en Jésus Christ. Il n’y a rien, à part la généalogie, qui maintient la richesse révélatrice du N.T. qui s’associe au judaïsme. Jésus-Christ a accompli et mis fin a L’A.T. et tout le système religieux du judaïsme pour nous remettre ce si grand Salut qui peut s’obtenir nulle part autre qu’en Jésus Christ, et Lui seul.
EN LUI
P.Gabriel
Une Très Bonne Question
Une personne de notre assemblée m’a posé une très bonne question. Une question, qui incite beaucoup de controverses concernant le jeûne et la prière pour chasser les démons et ce que Mt. 17. 21 veut vraiment dire.
J’espère que ça vous aide à mieux comprendre ce texte.
N’hésitez pas à me poser des questions, je vous répondrai dans les plus brefs délais.
Mt. 17. 21 Est en parenthèse, qui veut dire que ça était ajouté une fois la traduction complétée.
LSG
21 [Mais cette sorte de démon ne sort que par la prière et par le jeûne.]
Après que les disciples ont demandé à Jésus pourquoi ils n’ont pas pu chasser ce démon v. 19
Le verset 20 Jésus répond ;
Διὰ τὴν ὀλιγοπιστίαν = ceci se lit littéralement comme « à travers de votre petite foi… » – le mot « Διὰ /diá n°1223 » peut aussi dire « le motif ou la raison pour laquelle quelque chose est ou n’est pas fait… » Donc on peut lire cette partie du texte comme ceci ; « Le motif ou la raison pour laquelle vous n’avez pas pu chasser ce démon est à cause d’une petite foi… »
Or, le verset 21 de la LSG n’existe pas dans les textes originaux.
v. 20b Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne: Transporte-toi d’ici là, v. 21 et elle se transportera; rien ne vous sera impossible.
Se verset v. 21, dans la LSG, est en contradiction avec les versets dans Mt. 10. 1,8 ; Mc. 16. 17 ; Lu. 10. 19 ; Jn. 14. 12 … puisque nous voyons dans ces versets-là, que nous avons l’autorité de chasser tous les démons imaginables!
EN LUI
Pst. Gabriel
Pourquoi avez-vous peur?
Mt. 8. 23-27
« Il monta dans la barque, et ses disciples le suivirent. 24 Et voici, il s’éleva sur la mer une si grande tempête que la barque était couverte par les flots. Et lui, il dormait. 25 Les disciples s’étant approchés le réveillèrent, et dirent: Seigneur, sauve, nous périssons! 26 Il leur dit: Pourquoi avez-vous peur, gens de peu de foi? Alors il se leva, menaça les vents et la mer, et il y eut un grand calme. 27 Ces hommes furent saisis d’étonnement: Quel est celui-ci, disaient-ils, à qui obéissent même les vents et la mer? »
« …Seigneur, » le mot « seigneur » est le mot « κύριος / kýrios » le lexicon de Thayer’s dit = celui qui a le pouvoir de décider. Celui qui possède le pouvoir de déterminer ce qui convient et de libérer les autres de leurs obligations.
« … sauve… » On retrouve le mot «σώζω /sṓzō» qui veut dire : pour sauver du danger ou de la destruction. Pour préserver celui qui est en danger de destruction … secourir, rétablit entièrement en bon état.
«…nous périssons!…» Pour le mot «périssons», c’est le mot «απολλυμι / apóllymi » ; être ruiné pour qu’il ne puisse plus subvertir l’usage pour lequel il a été conçu… Wow.
Κυριε σωσον απολλυμεθα, ne peut, littéralement pas se dire, puisque ça va complètement le contraire de ce qui est Jésus, κύριος / kýrios.
Ceci peut être dur à comprendre (Jn. 6. 60), mais quand vous savez ce que vous avez ; il est impossible de confesser le contraire, pensez-y deux secondes.
Si j’ai vingt dollars pour acheter du pain, je ne peux pas dire que je ne peux pas acheter du pain.
Donc, Jésus les a repris en leur posant une question qui inclut la réponse… «…Pourquoi avez-vous peur, gens de peu de foi? …».
Jésus ne leur a pas répondu, «craignez point, je suis avec vous, rien ne se passera en moins que je le permets….» Non. Le mot «peur» ici, est là où on retrouve le mot « δειλός / deilós » qui est l’équivalent de notre mot « timide = se dit d’une personne qui manque d’aisance, d’assurance de courage, d’audace».
Dans le N.T, ce mot est toujours utilisé dans le mauvais sens ; comme les chrétiens qui, par lâcheté, cèdent sous les persécutions et apostasient.
Ceci nous montre à quel point nous pouvons nous laisser emporter par des événements même si Jésus est dans la même barque, même endroit. Il est important de réaliser que Dieu s’attend à ce qu’on se sert de l’autorité de sa Parole (Jn. 8. 8) et non d’être agité, déséquilibrer par des périodes turbulentes. De ne pas réagir dans l’âme, mais d’agir en esprit.(Jn. 6. 63-64)
Aussi il faut tenir compte que dans le 8e chapitre de Matthieu se sont passé plusieurs glorieux événements ; un lépreux guéri (1-4), le serviteur du centenier guéri en utilisant l’autorité de la Parole de Dieu (5-13) la belle-mère de Pierre guérie (14-15) des foules guéries et délivrer d’esprit démoniaque (16-22).
Wow… Donc, ce n’est pas comme les disciples n’ont pas eu l’opportunité de voir et d’expérimenter l’autorité de la Parole de Dieu.
Mais, à la première tempête ou résistance dans la vie des disciples se présenta, toutes ses glorieuses expériences-là, ont pris le bord.
La foi n’est pas une formule magique, elle est une « ferme assurance de la connaissance de la vérité dévoilée ». Elle n’est pas « j’espère que, je pris que… », mais elle est « Oui et Amen ».
Le fait que Jésus utilisa le mot έπιτιμάω / epitimáō pour le mot «menaça», nous dévoilent que Jésus à «censurer sévèrement = qui exprime une désapprobation (un refus) sévère de (quelqu’un ou quelque chose), en particulier dans une déclaration formelle».Un restreint.
Jésus s’attendait que les disciples se servent de la Parole de Dieu comme le centenier; Que s’il y a une menace ou un danger qui menace votre vie, vos biens, de refuser ce qui se passe dans le domaine naturel à vous atteindre ou influencer, «απολλυμι / apóllymi » ; d’être ruiné pour que vous ne puissiez plus subvertir( être troublé ou déséquilibrer) a l’usage pour lequel vous avez été conçut.
Si vous avez reçu le Seigneur et Sauveur Jésus-Christ vous êtes «Σώζω /sṓzō» qui est la partie progressive de σωτηρία / sōtēría.
«Σώζω /sṓzō» qui veut dire : pour sauver du danger ou de la destruction. Pour préserver celui qui est en danger de destruction … secourir, rétablit entièrement en bon état. Donc évolutif en croissance.
Ac. 4. 12 (LSG)
«Il n’y a de salut[σωτηρία / sōtēría] en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés…«Σώζω /sṓzō» ».
Donc ce passage des écritures, nous dévoile que nous avons un rôle à croire en nous appropriant et appliquant ce que la Parole exprime et de c’est intention, par lequel «Σώζω /sṓzō» nous rétablit entièrement en bon état…
EN LUI
La sagesse a bâti sa maison
Proverbes 9. 1
« La sagesse a bâti sa maison, Elle a taillé ses sept colonnes. »
#2454 – חַכְמוֹת chakmôth (sagesse)
Qui vient du mot חָכְמָה /chokmâh #2451. La sagesse est « tout ce que Dieu nous enseigne et dit de faire ou de personnellement nous se l’approprier ».
La Bible dit, à propos de la sagesse, qu’elle «…bâti sa maison… » Pour ceux qui poursuivent la compréhension des écritures, il est extraordinaire de voir que la sagesse a une maison, un lieu, une résidence… et dans cette maison, il y « …sept colonnes » pas six, ni neuf ni cent-neuf, mais sept colonnes.
Pr. 4. 7 dits (dans la KJF)
« La sagesse est la principale chose; par conséquent acquiers la sagesse: et, avec toute ton acquisition, acquiers la compréhension. »
La LSG se lit comme ceci;
« Voici le commencement de la sagesse: Acquiers la sagesse, Et avec tout ce que tu possèdes, acquiers l’intelligence ».
Pour une raison ou une autre, la LSG a vraiment manqué dans sa traduction, qui inévitablement, nous dérobe de révélations, et là, on voit vraiment une interprétation et non une traduction.
Donc, on va se servir de la KJF (King James française) qui est ici une meilleure traduction de cette partie des textes originaux.
Remarquer qu’elle est la chose principale à s’acquérir ? La sagesse.
J’ai remarqué que beaucoup de chrétiens que j’ai croisés durant mes 16 années de ministère sont des gens qui veuillent faire l’imposition des mains ou d’activer la manifestation des dons du Saint-Esprit « la chose principale »… Ou de voir certains de mes collègues dans le ministère se focaliser à voir le monde tomber dans l’esprit sous la puissance du Saint-Esprit.
Je n’ai aucun problème à imposer les mains, et les voir tomber dans l’esprit, pourvu que quand les gens se relèvent, prenne place un réel changement.
Mais, si l’on fait de la sagesse la « principale chose », vous verriez des changements, tous les jours.
On peut faire de la guérison “une chose principale” ou la prospérité « une chose principale », toutes ces choses sont importantes, ont à tant de choses à recevoir de Dieu, tant de choses qui proviennent de Dieu à apprécier. Mais, « la chose principale dans nos vies » est Sa sagesse.
Ici, la Bible nous enseigne que « la sagesse est la principale chose… »
La sagesse nous rapproche de Dieu, pensez-y …nous cherchons toutes sortes de choses pour nous rapprocher de Dieu ou pour obtenir des réponses. La sagesse de Dieu pourvoit à tout ça. (Jacques 3. 17)
La Bible nous dit que « la sagesse est la principale chose… ».
Alors que quand la sagesse de Dieu découlera de nous, nous deviendrons une bénédiction partout où nous irons. Il y a tellement d’avantages dans la sagesse de Dieu qu’elle fera de vous une bénédiction.
La sagesse de Dieu nous rapproche de Dieu et nous rapproche de nos familles, nos enfants, nos amis et des gens. Elle (la sagesse de Dieu) apportera de l’honneur et de la faveur dans votre vie. (Pr. 4.8-9)
Comment pouvons-nous allez à l’église toutes c’est année et « toutes c’est autre chose », à part d’obtenir ou de n’avoir même jamais entendu parler de la sagesse de Dieu (qui est la principale chose), c’est retrouver à être « la principale chose » à vivre dans l’église.
Ce n’est pas une critique, mais juste une observation. Si, nous poursuivons la sagesse de Dieu, de vouloir savoir qu’est-ce qu’est la sagesse, comment elle fonctionne, même, « qui », est la sagesse? Je suis persuadé que vous verrez des changements radicaux dans vos vies personnelles et dans le ministère au service des gens.
Voulez-vous savoir quelles sont ses sept colonnes ?
EN LUI.
CONVOITISES ou DÉSIRS
CONVOITISES ou DÉSIRS
[#1939 – ἐπιθυμία / epithymía et #1971- ἐπιποθέω / epipothéō]
1er partie
« Epithymía », de L’A.T. classique, provient de base « d’être excité à propos de quelque chose » … dans le grec classique, il signifiait d’avoir « une impulsion, un désir ou une prise de conscience et recherche des plaisirs». Comme les trois autres passions (peur, plaisir et tristesse). Le désir résulte d’une fausse évaluation des possessions et des maux (ou souffrance) de cette vie [Mc. 4. 19]. Une forte émotion.
Donc le gros de sa définition tourne autour du mot « Désire », mais dans Ga. 5. 17 ça dit;
« Car la chair a des désirs contraires à ceux de l’Esprit, et l’Esprit en a de contraires à ceux de la chair; ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez. »
Ici, le mot «désirs » est le mot ἐπιθυμέω / epithyméō #1937 = Qui se réfère aux désirs sexuels et aux convoitises, e.g. [Mt. 5. 28].
Les désirs peuvent trouver leur expression dans toutes les directions, le désir sexuel, les plaisirs matériels ou la convoitise des biens d’autrui (Ro. 1. 24).
ἐπιθυμία / epithymía peut-être dur à détecter si nos désirs dominent ou gouvernent notre cœur. Maintenant, il peut y avoir certain qui va lire ceci et se place sous une forme de condamnation, parce que, il y a beaucoup de choses que nous pouvons désirer.
Est-ce que de désirer une maison, une auto, un mari, une femme, des enfants, une nouvelle emploie, plus d’argent sont inclus dans sa sphère?
La réponse est, « tout dépend où est votre cœur ».
Nous étions auparavant sans force auprès de nos propres désirs « Ép. 2 3 « … nous vivions autrefois selon les convoitises [#1939 – ἐπιθυμία / epithymía] de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et de nos pensées… ».
Maintenant, Dieu nous comble dans ce que nous désirons (Ps. 37. 4 ; Hé. 13. 5), et la réponse est de marchez dans l’esprit (Ga. 5. 16).
Les désirs peuvent nous assujettir, mais remarquer où elle est située « dans notre chair, et non dans l’esprit»…qu’est-ce qu’on fait avec Ps. 37. 4
«Fais de l’Éternel tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire. »
Bonne question, dans le grec il y a un autre mot qui est utilisé comme « désire », mais ce mot porte une connotation positive.
C’est le mot « ἐπιποθέω / epipothéō » = Ici ce mot parle des désirs et des envies dans un bon sens…e.x. Ro. 1. 11 ; 2Co. 5. 2 ; 9. 14 ; Ja. 4. 5 ; 1Pi. 2. 2…et Ps. 37. 4.
Le « désir » ἐπιθυμία, laissée à lui-même, reste une source humaine, terrestre, mondaine, séculière. Elles peuvent atteindre un bon objectif, mais expriment une tendance profondément enracinée à trouver le centre de nos vies en nous-mêmes et à avoir confiance en soi-même, qui est directement liée au vieil homme (Ép. 4. 22).
Ceci peut sembler être radical pour certain, mais je vous assure que si cette observation auprès de ce que nous désirons n’est pas sensibilisée, peut se retrouver à être la source de beaucoup de nos échecs.
Ja. 6. 6-7 dits ;
« C’est, en effet, une grande source de gain que la piété avec le contentement ; car nous n’avons rien apporté dans le monde, et il est évident que nous n’en pouvons rien emporter… »
Pour le mot « contentement », on retrouve le mot grec « αὐτάρκεια / autárkeia # 841 ». Voici sa définition; une condition de vie parfaite dans laquelle aucune aide ou soutien n’est nécessaire. Suffisance des nécessités de la vie. Un esprit satisfait de son sort, contentement. Hé. 13. 5
Nous allons regarder l’importance de comprendre ce qu’est le contentement dans notre temps moderne à partir de Hé. 13. 5.
EN LUI.
Notre responsabilité
« Comme de bons dispensateurs des diverses grâces de Dieu… » : (est non quand vous allez arriver à être un bon dispensateur) ; c’est notre responsabilité de mettre au service des autres le don qu’on a reçu. (1Pi. 4. 10[LSG])
Voici la définition de « …notre responsabilité »;
«… Notre responsabilité » est une réponse qui répond à Son habilité.
Qui est donc de répondre à Sa grâce.
P.Gabriel